Numérique / Territoires

Économie / Réglementaire

  • Janvier 2009

    2008, une bonne année pour les territoires couverts par les réseaux d'initiative publique

    En 2008, 12 nouveaux réseaux d'initiative publique sont rentrés en exploitation, et 14 autres ont été lancés pour un montant de 327 millions d'euros, confortant l'implication croissante des collectivités dans l'aménagement numérique de leurs territoires. Au total, les réseaux en exploitation ou en construction représentent 2,5 milliards d'euros, 32 000 km de câbles optiques, le fibrage de 9 000 bâtiments publics (hôpitaux, universités, lycées et collèges, mairies...), 3...

  • Janvier 2009

    L'oligopole naturel, le régulateur et les réseaux ouverts d'initiative publique

    A l'issue de son mandat, le Président de l'ARCEP a multiplié les déclarations, notamment sur la 4e licence UMTS ou sur la mutualisation de la fibre. Cela aura peut-être pour effet de baliser l'action de son successeur, mais donne en tout cas une idée de la conception de la régulation du secteur par celui qui en a eu la charge principale.Cela n'est clairement pas du côté de la régulation postale qu'il faut chercher des éclaircissements, ce secteur ayant à peine été abordé...

  • Décembre 2008

    Réseaux d'initiative publique : un premier bilan encourageant

    L'Arcep vient de publier un rapport sur l'intervention des collectivités dans le secteur des communications électroniques. Les réseaux ouverts d'initiative publique sont récents, leur impact complet se mesurera sur le long terme, mais le premier bilan est déjà encourageant.Extension forte du dégroupage, nouveaux services et baisses importantes de tarifs dans les zones d'activité, couverture de la plupart des zones blanches de leurs territoires : les collectivités qui ont agi...

  • Juillet 2008

    Bilan de la LME : triplement de volume pour les communications électroniques

    Les articles 29 et 30 de la Loi de modernisation de l'économie ont triplé de volume par rapport au texte initial.Au total les débats ont été marqués par les préoccupations de couverture du territoire, même si nombre de réponses n'ont pas été fournies, avec une pression montante sur les régulateurs. La LME va accélérer le très haut débit, dans les zones qui ont déjà un bon haut débit, et rien n'est encore fixé pour le reste.Trois mesures phares ont été précisées : le déploiement et...

  • Juin 2008

    TDF/HDRR cède ses licences WiMAX à Bolloré, mais aussi ses contrats avec les collectivités

    Bolloré va reprendre 8 des 11 licences de TDF et ainsi constituer un quasi réseau national avec 20 régions sur 22.Cela concerne aussi les contrats et équipements installés pour les partenariats avec les collectivités. Sous réserve de clauses intuitu personae, elles ont donc aujourd'hui un nouvel interlocuteur.La décision était attendue, devant les difficultés de HDRR pour rentabiliser les zones blanches, et les promesses du WiMAX pour le nomadisme, voire pour le mobile urbain, cible de...

  • Juin 2008

    TRIP 2008 - Observatoire des ROIP

    Ouverture TRIP14h00 - 14h45Observatoire des Réseaux Ouverts d'Initiative Publique 4ème anniversaire du L.1425-1Bilan d'étape du WiMAX  | Télécharger les actes de l'Observatoire des ROIP (pdf) | Quatre ans après les débats acharnés qui ont entouré le vote de la loi permettant aux collectivités d'établir et d'exploiter des réseaux, une centaine de projets, très divers, ont vu le jour, et évoluent d'année en année. L'observatoire 2008 fera le point...

  • Avril 2008

    Etendre le haut débit ou taxer les télécoms pour financer les chaînes publiques ?

    La Commissaire européenne Viviane Reding a déclaré que la taxation des opérateurs de communication électronique, envisagée en France pour compenser une partie de la suppression de la publicité sur les chaînes publiques, était "contre-logique". ...

  • Mars 2008

    Numericable : les fonds montent

    Finalement, Carlyle et Cinven détiennent plus qu'annoncé fin 2007 dans les opérateurs Numericable et Completel, avec chacun 37,85%, tandis qu'Altice descend de 30 à 24,3%. Carlyle rallonge un peu la mise, avec 1,1 milliard d'euros, et l'ensemble serait valorisé 6,5 milliards d'euros. Comment, en mettant 1,1 milliard d'euros, détenir 37,85 % d'une société qui en vaut 6,5 ? Réponse : en pensant qu'il s'agit d'une usine à cash suffisante pour rembourser aux banques l'autre moitié.

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