Ramollissement du cerveau Mars 2005
« Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective « business », soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit ». « Or pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est à dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à TF1, c'est du temps de cerveau humain disponible ».
Patrick Le Lay, PDG de TF1, dans « Les dirigeants face au changement », Editions du Huitième Jour.
Quelques jours plus tard Mme Claude Cohen, directrice générale de TF1 Publicité, déclarait sur BFM : « on ne peut pas, aujourd'hui, parler d'un intérêt publicitaire par rapport à la télé locale ». Ouf !